Aller au contenu
OFFRE DE PRINTEMPS : 2 ACHETÉES = 1 OFFERTE
Les 7 choses que tu ne feras plus jamais après un marathon (ou presque)

Les 7 choses que tu ne feras plus jamais après un marathon (ou presque)

On le sait tous : le marathon, c’est un mythe, une épopée, un monument de douleur et de fierté. Une ligne d’arrivée franchie après des semaines d'entraînement, des litres de sueur et cette dernière ligne droite où le cerveau hurle « Pourquoi ? » pendant que les jambes font semblant de continuer. Et après ? Vient ce moment étrange, entre euphorie et agonie, où on se jure tout un tas de choses. Des promesses souvent tenues... jusqu’au prochain dossard.

"Les marathons ne pardonnent rien, mais ils offrent tout." – Steve Prefontaine

Premier réflexe à chaud, quand tu poses la médaille sur ton torse trempé : « C’était le dernier, je te jure. » Les crampes, la fringale, les courbatures... le corps tout entier dit stop. Terminé les sorties longues sous la pluie, les fractionnés du mercredi, les vendredis sans apéro. Et pourtant, il suffit d’un scroll sur une page d’inscription pour que « Lisbonne, tiens, ça a l’air roulant... » refasse surface.

Puis vient l’heure des grandes décisions. « Je vais me reposer, là. Vraiment. » Tu as même prévu de ne rien faire pendant deux semaines. Dormir. Manger. Série Netflix en boucle. Sauf qu’au bout de quatre jours, l’agitation te reprend. Tu remets les baskets pour « activer les jambes » et bim, te voilà en footing à 6h du matin.

La nutrition aussi, parlons-en. « Je vais mieux manger, sérieux. » Une promesse aussi fragile que les quadris le lendemain du marathon. Bien sûr, tu le penses vraiment. Mais deux heures après la ligne d’arrivée, un burger et trois bières te tendent les bras. Et tu plonges. Parce que tu l’as mérité.

Tu essaies pourtant de faire profil bas. « Je vais arrêter d’en parler à tout le monde. » Mais chaque conversation devient un terrain glissant. Tu ne peux pas t’en empêcher. « Tu sais, c’est marrant parce que pendant MON marathon... » Même le livreur connaît ton chrono et la galère du 35e.

Assume. Tu l’as fait. T’as le droit d’en parler. Un peu. (Beaucoup.)

Autre promesse qui ne tient jamais longtemps : « Je vais faire plus de yoga. » Ton dos te supplie, tes ischios crient à l’aide. Tu commandes un tapis, tu regardes un tuto. Et puis... rien. Il prend la poussière dans un coin, comme le roller abdominal acheté l’an dernier.

Et il y a ce classique : « Plus jamais je pars trop vite. » Tu t’étais promis de rester sage. De suivre ton plan. Mais le départ, l’ambiance, le speaker... t’ont transformé en Eliud Kipchoge sur 10 km. Ensuite ? Le mur. Le vrai. Celui qui te fait jurer fidélité à l’allure régulière. Jusqu’au prochain départ.

"Le marathon ne récompense pas les audacieux, il récompense les patients." – Yuki Kawauchi

Enfin, tu finis toujours par dire : « La prochaine fois, je m’équipe mieux. » Oui, cette chaussette qui t’a ruiné le talon... Oui, cette brassière testée le jour J... Oui, ce gel goût mojito. Tu promets que tu ne referas pas les mêmes erreurs. Et là, pour une fois, peut-être que tu tiens parole.

Astuce : investis dans du bon matos. Comme les chaussettes de compression Baron Wild. Maintien optimal, zéro frottement, confort post-effort. Et elles résistent aux marathons… et aux promesses non tenues.


Courir, promettre, recommencer

Après un marathon, on est dans un entre-deux. Fiers. Cassés. Émus. Et remplis de ces petites résolutions qu’on sait (presque) déjà qu’on ne tiendra pas. Mais qu’importe. Parce qu’au fond, le marathon, ce n’est pas juste une distance. C’est un état d’esprit. Une addiction douce-amère.

Post précédent Prochain article