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Les signes que tu es (officiellement) accro à la course à pied

Les signes que tu es (officiellement) accro à la course à pied

Ça commence souvent par un footing de 20 minutes, « juste pour essayer ». Puis un 5 km « pour voir ». Ensuite, un dossard. Et là… c’est fini. Ou plutôt, tout commence. Sans même t’en rendre compte, tu es tombé dans le grand bain de la course à pied.

"D’abord, tu cours. Ensuite, tu organises ta vie autour de tes runs." – Un coureur anonyme (et lucide)

Mais comment savoir si cette passion a franchi la ligne ? Voici les signes — parfois drôles, parfois un peu inquiétants — qui montrent que, oui, tu es officiellement accro.

Tu penses "course" avant même de penser "temps libre"

Le dimanche matin, quand d’autres pensent grasse mat’, toi tu vérifies l’état de tes jambes. Tu as même une to-do list spéciale veille de course : chaussettes, gels, météo, ravito... Le week-end parfait ? Un dossard au départ, une médaille à l’arrivée, et une bière entre potes en terrasse.

Tu as déjà planifié tes vacances en fonction d’un semi-marathon ou d’un trail local. Et ça ne te semble même pas bizarre.

Ta garde-robe parle pour toi

Ouvre ton placard. Plus de tenues techniques que de vêtements du quotidien ? Tu possèdes au moins trois paires de chaussures en rotation (dont une que tu gardes « juste pour les longues ») ?

Ton dressing est devenu une annexe de Décathlon, et tu en es fier.

Et puis, il y a les chaussettes de compression. Que tu portes « juste pour récupérer », mais aussi, parfois, toute la journée. Mention spéciale si tu ne jures que par ta paire Baron Wild pour éviter les jambes lourdes post-sortie.

Tu parles running comme d’autres parlent météo

Allure, VMA, D+, négative split, fartlek… ce vocabulaire fait désormais partie de ton quotidien. Tu peux réciter ton dernier plan d’entraînement par cœur, et tu sais combien de temps tu as couru… le 3 février 2021.

"Le coureur ne vit pas dans le passé, mais il se souvient de chaque chrono." – citation anonyme

Tu analyses tes stats sur Strava comme d’autres scrutent leur compte bancaire. Tu as tes segments fétiches. Et des adversaires que tu ne connais même pas mais contre qui tu veux absolument gagner un KOM.

Ton corps a ses propres rituels

Tu possèdes un rouleau de massage, un pistolet de récupération, une routine d’étirements (que tu fais… parfois). Tu as un coin chez toi dédié à la récup’, avec des chaussures qui sèchent, des barres énergétiques entamées, et un tapis de yoga que tu utilises pour scroller Instagram en posture de pigeon.

Bonus : tu sais dire "j’ai une gêne au TFL" sans que ce soit une blague. Et tu as déjà Google « tendinite + course + guérir vite » à minuit la veille d’une compète.

Tu trouves toujours une bonne raison d’aller courir

  • « Il fait beau, je vais profiter. »
  • « Il pleut, je vais tester ma veste. »
  • « Je suis fatigué, un footing va m’aider. »
  • « Je suis en forme, autant en profiter. »

Chaque occasion est bonne pour chausser les baskets. Même (et surtout) quand on te dit de lever le pied.

"Tu sais que tu es accro quand tu trouves normal de courir le 1er janvier à 8h du matin, avec les restes du réveillon dans les jambes."


Conclusion : une addiction qu’on n’a pas envie de soigner

Si tu t’es reconnu dans plusieurs de ces situations, pas de doute : tu es accro. Et c’est plutôt une bonne nouvelle. Parce qu’être accro à la course à pied, c’est aussi aimer transpirer pour un chrono, partager un ravito improvisé et sourire dans la douleur du 30e km.

Pas besoin de se soigner. Juste de continuer à courir. Avec passion, régularité… et une paire de chaussettes sèches.

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