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Le dossard que tu n’oublieras jamais : quand une course te change pour de bon

Le dossard que tu n’oublieras jamais : quand une course te change pour de bon

On en a tous un. Un numéro épinglé un matin d’automne, un dossard froissé mais gardé précieusement, une date gravée dans la mémoire. Ce dossard-là, ce n’était pas juste une course. C’était un tournant. Une ligne d’arrivée qui en disait long sur ce que tu venais de traverser, pas seulement sur le bitume ou les sentiers, mais en toi.

« Je suis parti courir un 10 km, j’ai terminé avec une confiance que je cherchais depuis des mois. » – Un coureur anonyme, mais transformé

Il y a les dossards qu’on accroche… et ceux qui nous accrochent

Tu t’en souviens comme si c’était hier : le stress de la veille, les chaussures posées soigneusement, le réveil trop tôt. Et puis ce moment, au départ, où tout semble suspendu. Le cœur qui bat plus fort. Le doute. La foule. Et toi, au milieu, prêt à tout donner.

Ce jour-là, il s’est passé quelque chose. Une cassure ou un déclic. Peut-être tu sortais d’une période difficile. Peut-être tu courais pour quelqu’un. Peut-être tu avais besoin de prouver, ou de te prouver. Peu importe. Ce dossard-là a marqué une bascule.

Il ne s’agissait pas de performance

Tu n’as peut-être pas battu ton record. Ou alors si, mais ce n’est pas ça que tu retiens. Ce que tu retiens, c’est l’effort dans le dur, le public inconnu qui te crie « lâche rien », ce bénévole au 35e qui te tend une bouteille avec un sourire immense, alors que tu n’as plus de jambes.

Tu retiens la montée au 7e qui t’a brisé. Le virage au 12e où tu as vu un proche. Le sprint de l’arrivée. L’émotion. La fierté. Les larmes parfois. La vie, quoi.

« Ce jour-là, j’ai couru avec mes jambes, mais j’ai franchi la ligne avec mon cœur. » – Une coureuse, après son premier semi

Ce dossard-là, tu l’as encore

Peut-être affiché dans ton bureau. Peut-être plié dans un tiroir. Mais il est là. Et à chaque fois que tu tombes dessus, tu te souviens de ce que tu as traversé. Ce jour où tu as fait taire les excuses, où tu as encaissé, relancé, avancé. Ce jour où tu t’es surpris toi-même.

C’est devenu plus qu’un souvenir. C’est une preuve. Une preuve que tu peux y arriver. Que tu es capable. Que tu sais te relever.

13 octobre 2019, 2h03 du matin. Tu ne dors pas. Mais tu souris. Tu l’as fait.

Le pouvoir d’un dossard

C’est fou, quand on y pense, ce que peut contenir un simple bout de papier plastifié. Une histoire entière. Une résilience. Un tournant de vie. C’est un objet banal, mais chargé de sens pour celui qui l’a porté.

« On ne choisit pas toujours la course qui va tout changer. Parfois, c’est elle qui te choisit. »


Conclusion : et toi, c’était lequel ?

Le dossard qui t’a révélé. Celui qui t’a relevé. Celui que tu garderas, même quand tu ne courras plus. Parce qu’il symbolise une version de toi que tu aimes. Une version qui est allée au bout.

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